(...)
Parce qu'elle.
Elle.
Elle au pluriel, au firmament, dans les miroirs, les mots de victoire ou de défaite, les combats doux ou terrifiants
dans les champs, dehors dedans.
Elle parce que c'est la pierre la peau le sang le chaud le frôlement des mains la couleur des couchants
Et tout ce qu'on a tenu, le ténu ou le grand, dans nos mains, nos mains réunies enfin.
Parce qu'elle.
Elle.
(...)