Il y a l'art et la manière. Le coup de sang, le coup de vent.
Et puis remplir le temps de notre vie avec des bouts de chandelles, des bouts de tissu, des soirs de mai.
On déplie nos visages, nos joies et de petits éclats luisent, ça volent dedans dehors.
Il y a nos atterrissages pas sages, nos envolées. Le soir qui vient n'est que le début.
Rien n'est clot, tout éclot en éclats pour les éclopées.
On se joue de nos insuffisances, on n'est pas suffisant, c'est déjà ça.
On se sait dépendant. C'est beau.
Et puis si ça se termine ici, c'est toujours le début de quelque chose là bas.
On y sera.