Immemory

Appel à la vie contre la tyrannie étatique et marchande

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"La distinction entre création passionnelle et travail forcé va de soi. (...) De simplement nuisible pour la santé, le travail est devenu une vacuité délétère à l'image de la masse financière qui tourbillonne sur elle même, se reproduisant et ne produisant rien. Pourtant, "Là où croit le péril, croît aussi ce qui sauve".

Oui, le sens humain que nous voulons donner à notre vie en vient à FERTILISER nos vies et nos territoires.

L'acte de créer.
Les pensées de la mort sont les pensées du monde dominant.
Les pensées de la vie sont celles d'un monde dominé, en voie de s'émanciper.

La création jette les bases d'un monde radicalement nouveau.

Parce qu'il bat au rythme des pulsations de la vie.

La valeur humaine est le dépassement des catégories éthiques.

Les pulsions de vie, un savoir qui émane du corps.

(...)

Aujourd'hui encore c'est Raoul Vaneigem qui

La force du grand Bénitier

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Année aprés année, il creuse le sillon et c'est bon.

Cette année, c'est en ligne.
C'est parti pour 6 jours de projection.

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Bande-annonce du festival du court métrage de Clermont-Ferrand 2019 from ClermontFd Short Film Festival on Vimeo.

Moi je suis contre le fait qu'il n'y ait rien.

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Il y a eu des événements de taille qui vont permettre de donner forme à un projet, notre projet.

Premier jour de travail à la maison.
Oui, nous avons eu confirmation que nous allons pouvoir oeuvrer  bientôt dans un LIEU.

 Des informations bientôt.

Il y a des champs croisés, des énergies pas volatiles.
C'est parti.

« Si je ne peux pas danser, ce n’est pas ma révolution »

Emma GOLDMAN.

https://www.franceculture.fr/emissions/une-vie-une-oeuvre/emma-goldman-1986-1940-vivre-la-revolution

Je lutte toujours contre l'obscurité, l'obscurantisme.

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On épouse ici les figures. Et je sais combien elle aime endosser les costumes.
On est ce que l'on souhaite devenir, on trouve des histoires qui nous définissent.
J'aime appréhender cela avec elle et elle devient tutélaire ici sur immemory.
L'histoire de prendre la route, s'éloigner de figure tutélaire qui enkyste nos devenirs.
On a parfois des aïeux pas aidant, on a appris à s'en protéger, on apprend encore.
Moi j'ai pris deux doses de vaccin et me sens à présent protégé
La malveillance induite existe, les virus ne sont pas que dans l'air.

 

Bir Başkadır

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Une série turque comme un film. Où la mise en scène, le jeu d'acteur servent le propos
Il est question ici de la force de femmes, de leur émancipation nécessaire, des prisons sociales et religieuses, l'impact d'une société gangrénée par le pouvoir machiste, c'est beau, peu manichéen, c'est simple et complexe à la fois.
C'est très touchant.

 

 

Transmission

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Elles sont deux, et je suis témoin de leur lien. De cette chose en mouvement, en création. Je sens la confiance de Bell, l'élan de vie proposé par sa maman. Car il s'agit d'être là et d'assumer la complexité de la tâche : à la fois contredire parfois, à la fois confirmer d'autres fois mais surtout offrir de la tendresse et du rire, oublier l'ego pour se mettre au service de l'autre. Permettre à l'enfant, à la jeunesse que soit ressenti ce domaine des possibles : la possibilité de s'appuyer, la possibilité de pouvoir réellement compter sur ce parent aimant, offrir un roc même s'il est fait de doutes, offrir un socle même s'il est fait de boue et de paillettes.

J'aime sentir cet amour là chez elles.

L'instant comme un univers

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On ne laissera pas le futur aux prédateurs, aux malfaisants.
On vit le présent avec audace.
ça fait du bruit, un peu de bazard, vie troubadour.

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La bienveillance des jours qui passent

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Je vous demande tout et obtiens tout autant.

Je vous demande le mouvement, la rivière et son pont suspendu solide franc.

Que ce soit simple rapide et joyeux. 
L’arrivée de Bellaime ce week end a mis de belles vibrations à notre maison.

Elles sont reines

De nouvelles prouesses de longues manoeuvres

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C'est un temps d'incubation, janvier comme une nappe de guitare, pas une mélasse, un lait d'ânesse. 
Je suis allongé dans l'élan, je suis emmitouflé dedans et les riffs de guitare,
Je cherche à saisir où poser les accords, des tas d'ingrédients presque secrets.
Janvier pour franchir le moment venu, la ligne qui nous sépare du monde
L'éternité pour moi n'est pas une insulte
J'ai le coeur gonflé comme si un second pousse dedans
Le souffle m'affranchit.

Je prends peu de photos.
N'écris pas ou presque.

Parle à untel et untel
élabore du vivant.

Bientôt il y aura sur les bords de Loire, notre lieu à partager.
Bientôt du fenouil sauvage et des fleurs d'amandiers
Bientôt quelques choses d'éphémère et joli
comme la trace d'une empreinte
sur la buée d'une vitre.

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sage vivant collectif comme Teleman.

 

 

Winnezeele désigne le vent soufflant sur le seuil de la porte

Trouver l'énergie joyeuse (ou folle) pour le cOmbat.

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Un bon livre, une bonne série.
Relevé et effrayant, oui.
JOHN BROWN
Parfois on brûle d'un tel feu intérieur...

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Le coeur net

 

 

 

Je n'aime pas les panthéons d'aucune sorte, pourtant...

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«De même que je refuse d’être un esclave, je refuse d’être un maître. Ceci représente mon idée de la démocratie.»

Né dans une cabane en rondins, fils de pionnier et homme de la Frontière, Abraham Lincoln (1809-1865) se construit seul,
devenant avocat, député et seizième président des États-Unis. Toujours humain, lucide et droit, c’est lui qui mène la longue et meurtrière guerre de Sécession et qui sauve l’unité du pays. L’éloquence de son verbe résonne encore à Springfield, Gettysburg ou Washington. «Si mon nom doit entrer dans l’histoire, ce sera pour cet acte», déclare Lincoln à la soirée du nouvel an 1863 : il vient de signer la mise en application de sa proclamation d’émancipation des esclaves. Il vient aussi de signer son arrêt de mort puisqu’il sera assassiné au début de son second mandat. «Mr L.», comme il se désigne sobrement, demeure à tous égards le défricheur, l’émancipateur et le grand capitaine de la nation américaine.

 

Nos bons voeux 2021

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Oui pour 2021, je nous vous souhaite
des corps à corps, des bras joyeux, des rires
des élans musicaux, oui pour 2021 que l'on
se touche, que l'on se porte, que l'on chante
que l'on se retrouve sans masque et sans peur
et que l'on danse bruyamment en transe
Oui pour 2021, que l'on quitte nos certitudes
pour ensemble tisser des fils vivifiants.

 

Qu'est ce que la lumière d'une journée dans le temps d'une année ?

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oui arrêter le temps 
pas longtemps
juste cet instant
du premier jour de l'année
pour regarder un peu dans le détail
une année entière écoulée : 2020.

mais c'est comme si
sous le soleil la pluie puis le froid
sous quelques édredons de mots lus
de films nombreux nombreux vus (déjà)
le temps du passé
vient à être englouti, absorbé.

Je prendrai le temps avant la fin de janvier
pour dire ce que fut pour moi 2020

Et ce que je nous souhaite oui pour nous
deux mille
et vingt et un.

 

Drôle de refuge

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Vie sous globe qui nous assiège nous malmène
et comme tout, on s'y plie.
Masque couvre feu, on se tait
c'est normal c'est la Loi, faut croire qu'on a pas
à se rebeller, à râler, à oser l'insurrection.
Qu'on a pas à crier le ras le bol de nos beaux bals qui 
nous manquent.
Et quand eux oeuvrent, on les somme comme des bêtes
de se taire.
On parle de responsabilité, autre manière de museler.
C'est vie privée contre vie publique.
Le pot en terre se casse pourtant.
Quand il s'agit de confronter nos désirs
à la raison
déraisonné
Tant de gens disparaissent
se plient
oublient.
C'est un refuge aussi
de se soumettre

Je nous crois fous, je vous jure,
je nous crois fous.

Il y a une telle hystérisation
autour du masque
autour des vaccins
autour des modes protectOires.

La maladie est là,
outrageusement elle tue.

Pourtant, nous pouvons oeuvrer
autrement décemment en 
respectant et nos libertés
et les individualités
et faire face
faire face
autrement.

Le bruit du silence.

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C'est une histoire que je raconte souvent ici.

Elle a commencé là : Adam

Elle se poursuit loin de nous là bas en Georgie (entre Turquie et Arménie)

Mais en décembre, quelques moments avec lui m'ont fait prendre conscience de beaucoup.

Du feu de la vie
feu du corps frêle et vif
feu des membres qui font ce qu'ils peuvent et
feu des sons des mots de cette volonté à eux deux, mère-fils.

Trouver la justesse alors. 
Pour aller de l'avant, sans.

Trouver les appareillages, les ajuster, écouter les pOints de vue
des professionnels.

Car il se passe quelque chose qui nous dépasse.
Et en même temps, pas tant.

Alors faire les choix
et les bons, au mieux.

Moi je ne sais pas.
J'interroge ce qui peut l'être.

Le reste ne m'appartient pas.

Je tente d'alerter entre les silences.
J'écoute aussi surtout.

Je suis le tonton de ce joli garçon de 3 ans.
Et c'est une chance.

Il repart après demain à 5000 km d'ici.
Ce n'est pas rien.