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Il s'est posé ici quelques jours, traversant la France pour venir.
Ce plus vieux et fidèle ami, Christophe.
J'ai pu poser mon épaule sur ses oreilles,
Lui confier affres et merveilles
Décortiquer avec lui mes milles peurs et durillons
en ces temps de prOjet en devenir.
On a bu du whisky mais pas tant
On a parcouru quelques chemins de Loire
naviguant entre les bancs de sable.
Il fut bon de le savoir prés de moi.
Rédigé à 18h56 | Lien permanent
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Ce matin que ma vie est faite de manifestations populaires, de coins de rue, d'élans et cavalcades, de...de chants d'oiseaux
Parfois je piaule, butin, carcaille, courcaille ou margotte.
Je cancane, canquette, nasille.
Je chuinte, hioque, hole, hue,(h)ulule.
Je craquette, glottore.
Je roucoule.
Je chante puis je dodeldire.
Je croasse, graille.
Je babille.
Je coucoule.
Je glapit, piale, tiraille.
Je zinzinule.
Je craque, glapit, trompette.
Je pupule, pupute.
Je cagnarde, jargonne.
je brais.
Je chuchote, pépie.
Je caracoule, jabotte, roucoule.
Je ramage et trille.
Je gémis.
Rédigé à 08h49 | Lien permanent
Rédigé à 15h53 | Lien permanent
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Je n'ai rien dit moi non plus quand le vent a soufflé à contre courant
La Loire montait en crue, le vent défaisait les branches restantes
Je n'ai rien dit de l'étreinte manqué, les porte à faux, cet autre soi qu'il faut activer
Je n'ai rien dit aux vents mauvais, sachant pourtant.
Cherchant les lumières rassurantes de l'aube, avançant un peu masqué.
Je n'ai rien dit peut-être que c'était mieux, ni agression ni résignation.
sur immemory le silence s'est installé, le dos rond.
Sur un mois de temps, on a trouvé une voie pour oeuvrer et s'installer en bords de Loire.
Il reste du travail pour lutter contre la servitude volontaire, donner forme, donner corps
prendre corps, et laisser venir le temps des métamorphoses.
Rédigé à 11h17 | Lien permanent
" Le premier remède à la Misère du Monde, c'est la mise au jour de la richesse dont elle est porteuse. Car le mal intellectuel premier n'est pas l'ignorance, mais le mépris. C'est le mépris qui fait l'ignorant et non le manque de science. Et le mépris ne se guérit par aucune science mais seulement par le parti pris de son opposé, la considération "
Jacques RANCIERE
Rédigé à 15h54 | Lien permanent
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Le cinéma déjà présent dans notre vie, s'impose avec ce qu'il faut de présence réflexive.
Une série de films, du festival de Gérardmer
Un film récupéré (in my room) quand le confinement vous permet de modifier les perceptions de l'autre et de son absence.
Un festival récompensé au festival Premier Plan
Le dernier Eastwood
Et...
Un documentaire, Alicia.
Rédigé à 20h08 | Lien permanent