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En arrivant à Charleville, c'est eux que je rencontre en premier.
Par la suite sur le festival, je vais les retrouver souvent.
On parle travail, on parle royauté...
On parle de la villa mais d'ici.
« Pourquoi, diable, meurt-on ? » Puisqu’elle ne le saura jamais la Fine Compagnie se demande « Diable, comment vit-on ? ». La question est intime, tendre et cruelle. Elle s’exprime parfois dans une poésie fragile où l’effroyable s’évapore en une joie céleste. Mais toujours frappée par l’enjeu politique, La Fine Compagnie met les doigts dans les rouages et sonde notre libre-arbitre, nos responsabilités et nos résistances."