...
Combattre.
Et dans ce combat, des blessures.
C'est que les forces de l'ordre au matin après le naufrage les ont empêchés de prendre le train.
Alors ils ont marché, longtemps, rejoindre Calais, le long des chemins.
Epuisé comme un soleil et la douleur
Chienne de vie.
Combattre en silence
Le corps appesanti
Puis revenir pour préparer la nouvelle traversée.
La nouvelle tentative, la énième.
L'errance qui épuise.